André CHOURAQUI
Pour vous cher André Marzuk, avec ma reconnaissance pour tout ce que vous apportez au monde de lumière et de sens, de vérité et d'amour, en fraternel et très admiratif hommage.
André Chouraqui, poète et écrivain / 9 Novembre 1993
Olympia ALBERTI
Nos vies ont soif de ce bleu qui, par la ferveur d'andré Marzuk, est celui de nos désirs ensevelis, de nos ciels irrévélés, de nos ombres où l'acceptation avance: le bleu du soulèvement de l'âme.
Olympia Alberti, poète et écrivain / in Bleu silence, 1995
Gérard RUCKER
André Marzuk rend hommage à ceux qui l'ont nourri : peintres, musiciens et poètes qui ont marqué sa vie de leur influence et l'ont inspiré dans son œuvre. Ce sont des portraits fidèles quant à la représentation, très inspirés dans leur finalité. Au delà de la forme, dans l'envoûtante rencontre du modèle et de son univers cosmique voulu par l'artiste, ces personnages hors du commun nous entraînent dans le sillage de l'exception, de la pensée créatrice, de la beauté. André Marzuk projette sur ses toiles ombre et lumière pour nous faire découvrir sa conception du portrait : du grand Art.
Gérard Rucker, critique d'art / texte pour l'exposition de L'Offrande Picturale, 1999
Annick THÉBIA-MELSAN
A l’UNESCO, un matin de février 1999, André Marzuk, l’un des artistes de l’exposition, est venu, rayonnant, me présenter une merveille née de ses mains et de sa sensibilité, dans le secret de son atelier à Nice. Un livre-objet, gravé à l’or fin et à la flamme, tout entier fertilisé par le dialogue intime de son inspiration et des mots d’Aimé Césaire. Selon les termes d’ André Marzuk, ce dialogue exprimant l’humain fondamental a-t-il contribué à "saisir jusqu’à l’obsession, l’invisible et la nostalgie de la lumière" ?
Annick Thébia-Melsan, Commissaire d’exposition / in catalogue de l’exposition "Aimé Césaire, pour regarder le siècle en face" 2000
Aimé CÉSAIRE
Marzuk m’a lu, il m’a compris. Il a saisi l'essentiel de mon œuvre. Il l'a senti, et profondément sentie et le message est implicitement contenu dans ce livre. Il a été au centre de ma création.
Aimé Césaire, poète et écrivain / lors de la signature du livre d’artiste "Cœur Ignition" / 2002
Colette FELLOUS
Oui, j'ai bien reçu votre catalogue et votre mot, cher André Marzuk, et votre parcours est merveilleux, on retrouve à la fois toute l'Histoire de l'Art et toute la lumière du monde, votre regard sans doute sur la vie, c'est très atypique et inédit, bravo ! J'aime aussi beaucoup ce signe et cette attention que vous portez à tous ceux que vous aimez et que vous introduisez dans votre œuvre.
Colette Fellous, écrivain / Courriel du 3 octobre 2007
Robert BONACCORSI
Les portraits d'André Marzuk se conçoivent comme autant d'hommages à ceux qui l'ont inspiré ou influencé, John Cage, Fédérico Fellini, Claude Monet, Victor Hugo, Edgar Varèse, Billie Holiday… Portraits graves et lumineux, fruits d'une grande habileté technique, ils constituent autant d'offrandes picturales. Enfin Coltrane, captant sur la toile sa dimension mystique, A love supreme, Ascension…
Robert Bonaccorsi, Directeur du Musée "Villa Tamaris" / in Catalogue d'exposition : 30 œuvres sur et autour du Jazz / 2008
Yvon LE MEN
Mon cher André, j’ai vu ton film [Mémorial des corps et des âmes] et c’est beau. J’ai même été un peu trop ému. Je t'embrasse, Yvon
Yvon Le Men, poète / Courriel du 30 avril 2007
Marie-Laure CROIZIERS DE LACVIVIER
Marzuk cite Roland Barthes qui, dans son livre La chambre claire écrit : “Au fond la photographie est subversive, non lorsqu’elle effraie, révulse ou même stigmatise, mais lorsqu’elle est pensive.” Depuis plus de 20 ans il travaille à une œuvre pensive, voire grave, touchant au tréfonds de l’esprit, incitant le spectateur à s’interroger sur lui-même et le sens de sa vie. Qu’il peigne, dessine, photographie ou filme, il recherche une réelle économie de moyens et traque le superflu. Mais qu’on ne s’y trompe pas, cette apparente simplicité cache une étonnante maîtrise alliée à un regard unique. Ses Polylobes, ses portraits ou ses "flammes", témoignent d’une forte créativité et d’une virtuosité au service d’un sens profond. En toutes recherches, Marzuk tend à privilégier l’essentiel : notre humanité.
Marie-Laure Croiziers de Lacvivier, Collectionneuse / 2007
Alain SABATIER
Ce qui est à noter, avec André Marzuk, c'est son intérêt pour de nombreux domaine de la création. Très tôt il a été ouvert à la poésie, à la musique. Après le militantisme des années 68 il a travaillé différents métiers d'artisanat. Puis il a fait des meubles peints. Il fait de la vidéo... donc il est assez protéïforme au niveau de ses intérêts artistiques. Mais pour ma part, ce qui me touche toujours le plus profondément, c'est son trait, son trait de crayon...
Alain Sabatier, photographe / Interview extraite du film de J-C. Fraicher : "André Marzuk, Fragments de Soi" / 2010
Zia MIRABDOLBAGHI
Le parcours artistique d’André Marzuk est avant tout caractérisé par une suite d’expériences spécifiques. Peintre et dessinateur, il pratique très tôt la photographie, s’intéresse à la poésie, s’initie à la musique et au langage cinématographique. Cette succession de recherches lui donne progressivement l’occasion d’expérimenter et de maîtriser différents supports, formats et matériaux. Ainsi, ces démarches riches en enseignements, l’ont conduit naturellement vers une création où dialoguent ces différentes disciplines.
(…) De quoi s’agit-il ici ? D’actes purement esthétiques ? Ou du témoignage d’une introspection sublimée ? La recherche d’une musique enfouie dans les profondeurs de l’être ou d’un jeu qui comporte une réelle prise de risques, la remise en question permanente des gestes, de la pensée, des intentions ? Il est difficile de ne pas imaginer la danse de la phalène autour de la flamme au péril de sa vie ! Au fond, l’épreuve de l’œuvre ne ressemble t-elle pas à cette danse de la phalène ? Dans ce cas que reste t-il du cheminement d’un artiste prêt à brûler ses ailes ? Des œuvres d’art ? Non… des fragments de soi.
Zia Mirabdolbaghi, Directeur du Musée de Vence / 2009
Claude RENAUDO
Merveilleux artiste, intelligent et généreux, André Marzuk nous réconcilie avec la nature humaine. Il fait partie de ces personnes que nous espérons rencontrer un jour. Nul ne peut rester insensible à cet artiste…
Claude Renaudo / Adjointe à la Culture, Carros / 2009
Zia MIRABDOLBAGHI
Cher André, J’ai eu beaucoup de plaisir à revoir "Hiroshima-La Mort". C’est une œuvre très déterminée et radicale qui reste d’actualité. (…) Beaucoup d’artistes, devenus des références ont fait ces types d’œuvres bien après ces années soixante.
Zia Mirabdolbaghi, Directeur du Musée de Vence / 2010