Structuré, comme un concerto, en 3 mouvements : La mort/la mort, La mort/la vie, La vie/la vie, ce film confronte deux œuvres artistiques produites à 30 ans d’intervalle : Hiroshima-La Mort (1969) et Traces de lumière (1999) comme symbolique des grandes périodes de l'œuvre poétique de Césaire, la révolte et l'espoir. Marius-Marc Roux offre le grain de sa voix aux poèmes de Césaire.
Le 14 septembre 2002, devant tous les représentants de la Culture et les médias de Martinique Aimé Césaire dira en signant "Cœur ignition" : Marzuk m’a lu, il m’a compris. Il est allé à l’essentiel et le message est implicitement contenu dans ce livre. Il a été au centre de ma création.
À trente années de distance, André Marzuk réunit deux de ses œuvres et instaure entre elles un dialogue qui éclaire son parcours. Du feu destructeur au feu poétique, l'expression plastique fait naître autour d'un même concept des visions opposées et s'apparente à une quête d'un absolu. Dany Ropart